Le 7 mai 2004, l'Appel de Paris soulignait et attestait des dangers relatifs à la pollution chimique.

Cet appel faisait pourtant l'impasse sur la nature et les conséquences des pratiques médicales actuelles. Il ne peut pourtant y avoir de subsidiarité en matière de toxicité et s'il est entendu que les produits chimiques réputés toxiques doivent être bannis de l'environnement des populations, en principe saines, ils devraient être encore moins utilisés en matière de traitement, surtout quand les personnes concernées sont affaiblies par la maladie.

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